PocoFest#7

23 mai 2025
Évènement sur toute la journée
Poitiers

Médiathèque François-Mitterrand

SORTIE DE PIL

Collectif impromptu

12H30

entrée libre et gratuite

Le PIL ( Poco Impro Labo) est un espace d’improvisation libre et pluridisciplinaire, ouvert à toutes et tous, créé en 2020 par le Pocollectif avec la complicité de la maison de quartier Le Local.
Une fois par mois musicien·nes et danseur·euses, se retrouvent pour pratiquer l’improvisation dite « libre ».
I·els questionnent leur rapport à l’écoute, à l’espace, au mouvement et au corps/instrument.

photo : Yoann Jouneau

Maison de quartier Le Local

3 concerts au Local, à partir de 19h

Plein tarif : 15€ – Réduit : 10€ – Joker : 3,50€
Buvette et petite restauration sur place

TATIANA PARIS : THALLE

Noise poétique

19H00

En partenariat avec Nage Libre.
Suite à un premier disque solo, Gibbon, paru sur le label Carton Records en décembre 2022, Tatiana Paris déploie un nouveau volet où la guitare préparée, la voix et une touche de synthèse modulaire dialoguent avec l’orgue. On vogue entre chanson bruitiste et minimalisme spectral, comme une rencontre fictive entre Fred Frith, Ellen Arkbro et Jules Reidy.

photo : Rémi Angeli


PILE A L’OUEST

Duo géographique

21H00

Chimère sonore, dans l’entrelacs des cordes, la rencontre de Nelly Mousset et Pom Bouvier-b se fait dans la physicalité de la musique, la densité des espaces et des mouvements. L’une joue la contrebasse qui devient un monde en soi de souffl es, de craquements et de résonance; l’autre active son « lamineur », instrument hybride parcouru de courants électriques et de sursauts cristallins. Ensemble, elles explorent les contrastes entre douceur de la noise et puissance du son acoustique.
Pom Bouvier-b : dispositif électroacoustique – Nelly Mousset : contrebasse/voix

photo : Pom bouvier-b


ZOA

Cuivre, Acier, Carbone

22H30

Z0A est un organisme vivant. Tout part d’une cellule et à partir de sa pulsation, la musique prend corps. La masse sonore s’amplifi e, s’échafaude, se muscle. Pour éviter les courbatures, le temps s’étire.
La répétition du geste arrive à l’épuisement. Le même pattern qui, à bout de souffl e, trébuche. Le même frottement qui soudain déraille et renvoie les harmoniques dans les cordes. Le même geste qui fait friction. Puis c’est l’érosion de la matière. les cordes élimées ne tiennent plus qu’à quelques sons ténus, les ondes s’accordent sur un bruit blanc. Là-haut : des électrons suspendus…
Arnold Courset-Pintout : orgue électrique, synthétiseurs, chant – Maxime Dancre : batterie, percussions – Julien Deborde : trompette, effets – Yoann Magneron : contrebasse, effets